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Mis à jour : vendredi 27 mars 2015 Écrit par Laura Rizzerio

A l’ombre de mon olivier veut être un site qui parle de la vie et des ses racines.

Petit et imparfait, il veut trouver sa beauté dans la fidélité à ce qui parle au cœur de l’homme et l’éveille à ses profondeurs, au désir d’amour et de paix qui sont inscrits en tout homme, où qu’il soit.

En répandant, je l’espère, l’huile apaisante d’une parole « humaine », il veut contribuer à faire naître des fruits de paix et de bonté dans cette nouvelle terre qu’est le net, et dans le cœur de ceux qui la visitent.

Dans les différentes sections, je partagerais ma passion pour la philosophie, mes lectures, les paroles de ceux qui ont édifié et édifient notre culture et qui contribuent à en faire la beauté. Vous trouverez aussi quelques commentaires de l’actualité, surtout de celle dont on ne parle pas souvent ou qu’on « déforme » si volontiers pour des raisons idéologiques. Un espace sera aussi consacré à ceux que j’aime (mes amis, ma communauté paroissiale, les pauvres en tout genre), et à ce que j’aime : la l’art et cet art tout particulier qu’est la cuisine (oui, je suis une fan de la cuisine méditerranéenne). Dans cet espace, vos contributions sont les bienvenues !

Une section spéciale sera consacrée aux questions relatives au débat science, raison et foi ; théologie et philosophie. Ce débat me paraît capital à l’heure actuelle. L’articulation entre foi et raison, qui a marqué le début de l’histoire du Christianisme en occident et qui a été si importante pour le développement de la civilisation occidentale, la protégeant de toute forme aiguë de fondamentalisme (ou du moins repoussant le fondamentalisme au marges de la société), me semble être encore aujourd’hui un élément clé pour garantir un développement harmonieux de la communauté humaine. Au coeur de la mondialisation et de la rencontre (ou du choc !) des cultures, dans une société qui glisse de plus en plus souvent vers des formes d’irrationalité, d’intolérance et de violence, l’Occident peut apporter au monde la richesse de sa propre construction sociale, fondée sur une rationalité ouverte sur le mystère, critique à l’égard de toute forme de fidéisme, mais capable d’accueillir ce qui n’est pas démontrable, et de l’explorer pour en découvrir le raisonnable. Notre démocratie, notre science aussi, sont le fruit d’une telle articulation… Elle est précieuse et ne doit pas être oubliée, ou pire, niée ! A l’ombre de mon olivier veut en garder la trace… comme de la bonne terre en qui s’enraciner pour porter un fruit savoureux et sain….